11 octobre 2014
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« Je n’écris pas vraiment des romans au sens classique du terme, plutôt des choses un peu bancales, des sortes de rêveries, qui relèvent de l’imaginaire.
[…]
Les événements n’ont pas d’intérêt en eux-mêmes, mais ils sont comme réverbérés par l’imaginaire et la rêverie. Par la manière dont on les a rêvés, dont parfois on les a mélangés et amalgamés, on a mis sur eux une sorte de phosphorescence, ils sont métamorphosés.
[…]
Ce que j’aime dans l’écriture, c’est plutôt la rêverie qui la précède ».
(extrait d’une interview parue dans Télérama 01/10/14).